À quelques centaines de mètres de là, j'accède au cimetière français d'Uppalam, créé à la fin du XVIIIe siècle. Le lieu est serein et bien entretenu (photo 1). Je suis accueilli, en français, par le gardien qui me demande si je recherche une famille particulière et qui me désigne ensuite la tombe de sa maman, décédée à Paris. Les tombes sont plus serrées et plus colorées qu'en France. Beaucoup de croix sont bleues, sans doute en hommage à la Vierge Marie à laquelle une chapelle est dédiée. Les inscriptions en français voisinent avec les inscriptions tamoules (photo 2). À l'origine, des murs séparaient les cimetières des blancs de ceux des indiens et triaient les indiens selon leur caste.
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