J'habite dans un quartier musulman, près d'une mosquée. La vie y est rythmée par les prières rituelles, additionnées de celles qui célèbrent chaque soir la fin du jeûne (Ramadan).
Je ne dors pas. Je suis un étranger. Ici et ailleurs. Partout où je suis. Je découvre le monde et me révèle à moi-même. Je m'enrichis et me dévêts. Je me débats. L'Inde est dans l'air. Elle est sur la terrasse. Elle est au bas de l'escalier. Incontournable.
Cependant, le ventilateur brasse cet air indien et rafraîchit mon corps. Il y a une lutte entre la douleur et la douceur : la douleur d'être, et la douceur de vivre.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire