mercredi 10 juillet 2013

3-PONDI LA BLANCHE







Pondi la blanche, Pondi la française, Pondi la niçoise. Il y a une contradiction évidente entre la recherche de l’Inde authentique et le choix de passer l’été à Pondichéry. Juillet et août voient la mousson et ses pluies régner sur une grande partie du pays, sauf dans quelques territoires dont le sud.

Cette ville ne peut être qu’une étape de découverte des mille visages de l’Inde où se côtoient églises, ashrams, temple tamouls, et mosquées. De ces contrastes qui se retrouvent au niveau des quartiers et de leur architecture peut naître le charme du séjour, et de sa coloration française une fausse mélancolie. Il y a certainement  à Pondichéry un côté « cimetière des éléphants », un lieu où l’on vient comme si l’on y revenait, un lieu de fin de vie face à l’océan.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire